L’aéroport de Singapour ressemble à une immense ville fantôme et j’arrive quand même à me faire voler mon sweat-shirt fétiche. Vraiment un sale race ces niaks. Je me suis fait empoisonné par une grosse singapourienne vendeuse de bols de soupes moisis. Une espèce d’immonde soupe aux relents de moule, remplie de fruits de mer, d’œufs, de piments et accompagnée d’une boisson « gelly » avec de la gelée marron dont la vendeuse me cachera volontairement les ingrédients.
Bienvenue dans le monde réel
Il y a 10 ans
2 commentaires:
Tu parles à ton god maintenant?
Qu'il cause à son god, venant de Gengis, passe encore.
Mais qu'il l'estime au point de le vouvoyer, j'avoue que ça me laisse con.
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